Portrait d’adhérent·e : Pourquoi adhérer à La Ville à Vélo ?

/ Portrait

Alexandra, 27 ans, travailleuse sociale et en fin d’études en ingénierie sociale

 

J’habite Lyon 7, juste à côté de la Place Jean Macé, et je travaille en ce moment à la Mulatière, de l’autre côté du pont.

 

Depuis cet été, je vais au travail à vélo, par les quais et le Pont de la Mulatière. Avant j’y allais en transports en commun ; le beau temps et les collègues qui le faisaient tous les jours m’ont incitée à franchir le pas. J’ai pu profiter d’un “co-vélotaf”, certains collègues habitant juste à côté de chez moi, j’ai pu être accompagnée sur mes premiers itinéraires.

 

A mon arrivée à Lyon il y a quelques années j’ai repris le vélo, après 20 ans à en avoir peur. Mon compagnon, qui faisait du vélo au quotidien, m’a offert un vélo, et j’ai recommencé, à la campagne et notamment sur la Viarhôna. Les pistes cyclables protégées ont été très importantes pour ma remontée en selle, j’étais mal assurée sur des voies partagées avec les voitures, je n’arrivais pas à gérer les informations, la présence des voitures…

 

Maintenant quand je vais travailler j’ai l’impression de partir en vacances, et je me dis que si je continue après le pont, j’arrive en Arles ! Le vélo me permet d’élargir mon périmètre de découverte, aussi bien en ville qu’à la campagne, en randonnée, parfois avec des trajets train + vélo. Aller travailler à vélo me permet de démontrer à mon entourage que se déplacer à vélo ne prend pas plus de temps, qu’on n’arrive pas forcément en sueur, qu’on ne prend pas la pluie tous les jours…

 

J’ai adhéré à La Ville à Vélo avant de pratiquer le vélo au quotidien, à la suite de différentes actions, notamment sur le Cours Gambetta, mais aussi la balade organisée pour le 8 mars qui m’avait permis de circuler en ville, en groupe, une super initiative pour la prise de confiance ! Adhérer à La Ville à Vélo est pour moi une façon de soutenir la place du vélo en ville et la cohabitation avec les autres modes de déplacement. 

 

Petit à petit je prends de l’assurance, et je me rends compte que si en parallèle des progrès individuels, il y a aussi des avancées du côté des aménagements, ça donne quelque chose de positif.

 

C’est pour ça que des associations comme La Ville à Vélo sont importantes, pour que les choses évoluent dans le bon sens.

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